« Because maybe you're gonna be the one who'll save me ? » •• uc.

« Anaëlle Layla ANDREWS»
Feat. Jessica Stroup.

• Age : 18 ans
• Birthday : 23 décembre
• Étude : Psychologie
• Groupe : The Rich`

« Because maybe you're gonna be the one who'll save me ? » •• uc. F4fm0

©phoenyx4

_ Chacun son histoire »_

L'histoire de votre vie, en vingt cinq ligne minimum. N'oubliez aucun détails, tout est toujours bon à mettre dans cette partie

_ Méchante ou Gentille ? _

•

Chaque personne est différente, chaque personne a ses petites manies, traits de caractère parfois un peu loufoques, ce sont ces petits détails qui font de la personne quelqu'un d'unique. Anaëlle est unique en son genre, comme tous les êtres sur cette planète. Il serait difficile de la définir en quelques mots, on pourrait écrire un roman sur la personnalité de la jeune femme. Mais commençons par le commencement. Anaëlle donne l'image de quelqu'un de sérieux, une jeune femme dont le sourire se dessinant sur son visage est plus que rare. Quelqu'un d'intelligent..et d'étrange. Mais ne vous a-t-on jamais raconté qu'il ne faut pas se fier aux apparences ?! Anaëlle est sérieuse, et intelligentes, certes. Mais c'est parce qu'elle se donne les moyens de réussir, d'accéder à ce dont elle désire le plus au monde. Certaines personnes se plaisent à l'appeler « l'intello » ; mais elle n'y prête pas attention, ces personnes qui jugent sans connaître ne valent pas la peine que l'on discute et parlementent avec elles. Toujours là pour ses amis, vous savez que vous pourrez toujours compter sur elle en cas de coup dur. Jamais elle ne laisseras tomber ses amis, même si vous la réveillez en lui téléphonant à quatre heures du matin en larmes à cause d'une histoire de chaussure perdue; elle accourra tout de même chez vous pour vous soutenir. Elle trouve souvent les mots qu'ils faut pour consoler les autres, et est toujours très à l'écoute. Mais Ana' n'est pas quelqu'un qui a le sourire facile. Elle n'est pas comme certaines personnes qui ont en permanence un sourire collé sur le visage, partout où ils vont, quel que soit l'événement. D'accord, elle aime sourire, rire c'est agréable & ça fait toujours du bien, rire cinq minutes dans une journée. Mais la plupart du temps, lorsqu'on la regarde, on pense tout de suite « Quelle tête d'enterrement! » ; mais elle n'est pas une fille triste, ou mélancolique, non. Elle ne sourit que lorsqu'elle se trouve en présence de certaines personnes, en particulier son meilleur ami. Ce sont les rares personnes qui la font rire jusqu'à ce qu'elle en ait mal au ventre.
Parlons un peu de ses défauts maintenant. Oui, parce que Mademoiselle n'est pas parfaite. Personne n'est parfait. Eloïse est assez renfermée, sauf avec ses amis les plus proches. Certaines personnes diront d'elle que c'est une femme coincée qui n'ose rien faire, mais ce serait très mal la connaitre. Lorsqu'on la connait bien, on découvre chez-elle un petit côté parfois complètement déjanté, que ses amis adorent. Beaucoup trouvent qu'elle devrait un peu plus montrer ce côté de sa personnalité. Elle est jalouse aussi...un peu trop parfois, mais elle essaye de s'améliorer...avec beaucoup de mal. Elle a l'impression d'être trahie lorsqu'elle voit son meilleur ami avec une autre fille, même une fille de sa connaissance. La jeune femme s'en fait aussi par rapport au regard des autres. Elle essaye de devenir plus franche et de ne pas faire attention à ce que les autres peuvent penser, mais elle n'y arrive pas..du tout. Elle ne peut s'empêcher de se demander ce que les autres pensent d'elle, et lorsqu'on la regarde bizarrement, elle est incapable, comme d'autres personnes de demander « Quoi, j'ai quelque chose entre les dents ? » . Non, elle détourne la tête et pique un fard, ayant l'impression d'être une bête de foire incapable de se rebeller. Elle déteste ce trait de caractère chez elle, avoir l'impression de dépendre des autres. Mais elle ne peut pas le changer. Un autre défaut ? Elle est peut-être un tantinet trop curieuse. Même si elle n'oseras pas forcément demander des détails sur le pourquoi du comment l'une de ses amies s'est retrouvée complètement bourrée au lit avec un inconnu, comptez sur elle pour..fouiner un peu. Ce qui n'est pas du goût de tout le monde, mais elle ne peux pas s'en empêcher; c'est plus fort qu'elle. Même si Eloïse n'ouvre pas la bouche souvent, quand elle l'ouvre, il arrive que ce soit pour..dire des idioties. Mademoiselle est...gaffeuse, très gaffeuse. Garder des secrets, d'accord, elle y arrive sans problèmes ; mais ce qu'il y as..c'est qu'il lui arrive de dire des choses pas très appropriées à la situation.

_ T'as pas d'ami ou bien ?_

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Aaron Nate Hellwood
Ft. Joe Jonas.

Citation :

Spoiler:

Aaron et Anaëlle font partie de deux mondes complètement différents, et leur rencontre est due à un parfait hasard. Par une nuit froide d'hiver, une silhouette solitaire marchait dans les rues enneigées d'Oxford, les écouteurs sur les oreilles diffusant une musique « Love is on its way » des Jonas Brothers. Elle avait toujours eu l'impression que cette musique avait été écrite pour elle, tellement elle lui correspondait. Anaëlle était plongée dans ses pensées lorsqu'elle fonça dans quelqu'un. Elle leva alors les yeux.

« Excusez-moi. »
Elle s'apprêtait à continuer son chemin lorsque la personne qu'elle avait bousculée la retint par le bras. C'était un garçon un peu plus âgé qu'elle, à cette époque elle avait 14 ans, et il devait en avoir 17. Un rictus mauvais se dessina sur son visage, puis il planta son regard noir dans les yeux d'Anaëlle.
« Alors ma jolie, où est ce que tu veux aller comme ça ? »
Un autre garçon rejoignit soudain le premier, et eut un même sourire mauvais en apercevant Anaëlle.
« Viens boire un verre avec nous, t’es pas pressée, si ? »
Il commençait réellement à lui broyer le bras, et la jeune fille retint un gémissement de douleur. Un garçon arrivait derrière elle, mais elle ne le vit pas. Il avait 15 ans, des cheveux foncés et des yeux chocolats. Aaron s’approcha d’Anaëlle et lança un regard mauvais aux deux garçons.
« Laissez-la tranquille, bande d’idiots. Dégagez ! »
Il avait trois ans de mois que les garçons, et pourtant il les avait fait fuir. Anaëlle se retourna, surprise par cette intervention. Elle ne le connaissait pas, et pourtant il était venu l’aider, comme il l’aurait fait avec une amie. Elle le regarda un instant, puis son regard croisa le sien, ses yeux chocolats. Elle déglutit.
« Merci. »

Quelques mois plus tard...
Anaëlle marchait d’un pas rapide, presque dansant, jusqu’au Carluccio Caffe. Elle devait y rencontrer Aaron, ils avaient prévu de passer la journée ensemble, et elle était vraiment heureuse. Elle avait l’impression d’avoir rencontré son véritable confident, celui à qui elle pourrait tout dire sans qu’il ne la juge, celui avec lequel elle pourrait rire des journées entières sans s’en lasser. Un véritable ami. Ils savaient tous deux qu’ils étaient issus de mondes complètement opposés. Aaron n’ignorait pas que les parents de Anaëlle étaient pleins aux as, qu’elle avait un appartement s’étendant sur trois étages d’un immeuble et qu’elle était scolarisée à l’école la plus en vue de la ville. Mais cela ne l’empêchait pas de l’apprécier, son ange, comme il s’amusait si souvent à la surnommer. Parce qu’il ne se fiait pas aux apparences, et il savait qu’Anaëlle était loin d’être une de ces filles à papa hautaines et stupides. Elle était complètement différente. Jamais il n’avait pensé qu’il aurait pu rencontrer une fille comme elle. Au départ, lorsqu’il l’avait vue aux mains de ces gaillards, il s’était dit qu’il allait lui porter secours, parce que c’était dans sa générosité naturelle. Mais lorsque son regard avait croisé le sien...il avait perdu tout contrôle, son coeur s’était emballé comme jamais, et il avait mis un long moment avant de pouvoir reprendre la parole. Lui qui n’avait jamais cru au coup de foudre, il venait de le vivre.

La journée avait passé comme un éclair, trop vite aux yeux d’Aaron. Il voulait rester avec elle pour l’éternité, mais c’était impossible. Elle le voyait comme un ami, et il ne voulait pas briser cette amitié. Un baiser sur la joue, une promesse de se revoir un autre jour...et bien vite les cheveux bruns d’Anaëlle se perdirent dans la foule.

« Aaron, je ... »
« Chuut, ça va aller, t’inquiètes pas, je suis là. Je serais toujours là. »
Anaëlle venait d’avoir 17 ans, aujourd’hui même. Et c’était le jour où son petit ami avait choisi de la plaquer. Elle n’avait pas hésité une seule seconde et avait appelé Aaron, qui avait accouru pour la consoler. A présent dans ses bras, Anaëlle pleurait à chaudes larmes tandis qu’Aaron caressait ses cheveux lentement ; elle sentait la noix de coco...il déglutit. Il ne fallait pas, il ne fallait pas. Mais lorsqu’elle leva les yeux vers lui, ses yeux embués de larmes, il ne put s’en empêcher, et plaqua ses lèvres contre les siennes. Des années qu’il en avait envie, de l’embrasser. Foutues pulsions. Mais le plus surprenant fut qu’Anaëlle, après quelques secondes, lui rendit ses baisers. Elle ne savait pas trop ce qu’elle faisait, elle..se laissait aller, elle en avait envie, tout simplement.

Ils ne se sont pas revus depuis. Aaron a bien essayé de l’appeler, mais sans succès. Pas qu’elle n’aie plus envie de lui parler, au contraire. Mais elle se sentait bizarre, depuis ce jour où ils avaient couchés ensemble. Très bizarre. Elle pensait de plus en plus souvent à lui, ses mains devenaient moites lorsqu’elle voyait son nom s’inscrire sur son portable. Bizarre. Elle connait ce sentiment, mais elle a peur, de se faire briser le coeur à nouveau. Elle n’avait pas prévu de se retrouver dans le même établissement que lui, et de le recroiser au détour d’un couloir...

« Because maybe you're gonna be the one who'll save me ? » •• uc. LJ ICONS

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_ Toi, petit RPgiste _

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