Isalÿs Skye Moon.

• Isalÿs Skye Moon
▬ Avatar

• Age : 17 ans
• Birthday : 27 février.
• Étude : Psychologie
• Groupe : The Others

• Chacun son histoire
▬ Everythings about you.

L'histoire de votre vie, en vingt cinq ligne minimum. N'oubliez aucun détails, tout est toujours bon à mettre dans cette partie. Ecrire entre les balises.

Voulez vous réellement connaitre ce qu'est la misérable vie de Isalÿs Skye Moon, C'est à dire: moi ? Je ne vous comprends pas, derrière mes petits airs ordinaires pensez vous que j'ai pu être une personne aussi simple &sans passé derrière elle ? Désolé mes amis de devoir vous contredire car je ne suis pas cette perfection qui toute personne aimerait voir à travers ses semblables. Je suis la progéniture maudite de la famille Moon.

Si ma cher mémoire est bonne, je pense que la température ne pouvait laisser à désirer cette nuit là. Le vent soufflait, la pluie ruisselait fortement, le tonnerre grondait. Ou peut être était ce les cris que ma mère pouvait gémir que brouillait le bruit de la tempête. Elle qui essayait de dominer la souffrance de ma mère n'avait pas réussis cette mission. Mais il faut croire que je devais être un fardeaux dès ma pauvre naissance. Éclairé à la plus faible lumière de bougie qu'il restait dans la demeure familial, mes parents étaient prêts à donner vie à une jeune enfant, moi. C'était à domicile je m'en souviens très bien, ma mère me le racontait souvent. Qu'elle avait eu du mal à me faire sortir de son corps, soit disant que j'étais tellement bien à l'intérieur. Comment mon père pouvait essayer de la calmer, mais que ses cris incessants la stressaient encore plus. Ou encore, le mal qu'elle avait éprouver à me choisir un prénom. Selon ses dires, c'était bien le plus difficile pour elle, car elle ne savait quel nom serait digne de figurer à vie sur ma carte d'identité. Et sans vouloir me venter, je pense qu'elle a trouver bien le prénom que peu de gens aurait réussi à trouver; Isalÿs. Elle ne se rappelle plus où l'avoir entendu mais ce prénom l'avait toucher au plus profond d'elle même, puis pour deuxième prénom, je fus obliger de me contenter de qu'un misérable petit; Skye. Vous faites erreurs, ce n'est pas un prénom masculin mais mixte, et par malheur, il avait fallu que j'assume le fait de le porter. Mais bon, je peux arrêter de me plaindre sur ça. Car pour une famille à très faible revenue, le début de mon existence peut paraitre quelques peu .. heureuse, donc je préfère continuer mon récit sur la suite de mon existence.

Enchainement les petits boulots sur petits boulots, j'ai vécu ma petite enfance dans un vulgaire bar de quartier dont ma génitrice était simple serveuse. Ce qui m'avait marquer en ce temps là, c'est que malgré que je semblait heureuse dans cette vie banal, en quelque sorte, je me sentais toujours légèrement différente. Peut être le fait de ne pas encore aller à l'école à mon âge ? Hn, peut être bien. Il m'a fallu attendre l'âge de six ans pour pouvoir accéder à se soit disant luxe qu'est l'enseignement. Franchement, je ne voyais pas encore l'utilité. J'étais encore jeune, mais je sentais bien le regard moqueur des autres parents sur moi sur mon grand décalage. J'étais plus grande que la plupart de mes camarades, et ça amusait ses gens qui n'était pas plus acceptable que la situation que je trainais derrière mes petits jupes en dentelles. Tout les soirs, rentrant de l'école avec la voisine. Je me postais devant la télé. C'était toujours l'heure de ma série tant aimer, Melrose Place. Je ne devais rien comprendre à se qui se passer mais j'aimais regarder cette série devenue culte aujourd'hui. Mais comme chaque soirs, je m'avançais lentement du poste noir. Appuyant de ma petite main, sur le bouton du son. Je l'augmentais pour ne pas entendre mes géniteurs s'engueulaient inlassablement dans la cuisine. Fixant inlassablement le poste de télé, je faisais comme si le bruit qui m'entourait n'était qu'un bourdonnement d'abeilles. Comme si ces cris remplient de haines n'étaient enfaites que les cris de papillons sortant de la cocon. Je n'étais pas bête, la relation qu'avait mes parents se dégradait de jours en jours. Peut être allait il finir leur vie comme les parents d'une de mes anciennes amies, en ce temps, qui possédaient des parents séparées. Jonglant avec leur fille, de maisons en maisons, je ne voulait aucunement subir le fait d'être pousser comme un jouet. Puis venait le moment que mon père me hurlait dessus comme un fou venant de l'asile dans l'espoir que je comprennes que je ne devait augmenter si fort la télé. Lui comprenait il que je ne voulais vivre comme cela ? Non, surement trop idiot. C'est à partir de cette période que je me suis immiscer dans un monde n'appartenant qu'à ma personne. Faisant comme si les personnes environnantes n'existaient pas, je m'amusais avec ce pays imaginaire sortis de ma tête. Tout y était si magnifique, &plaisant. J'arrivais à ne pas détester ma misérable existence. Un exploit; un exploit réel.

Mes cheveux trempés faisaient très taches sur mon visage couleur porcelaine, pourtant je ne voulais pas bouger de ce lieu. Le vent soufflait aussi fort que le jour fatidique de ma naissance. Le ciel semblait gronder mais j'étais bien trop occuper à observer ce qui se trouver devant moi pour faire attention à ce qui se déroulait autour de moi. Les feuilles fouettant mon visage d'adolescente, elles réussissaient à certains moments à enlever les fines larmes qui coulaient du long de ma joue. Il avait fallu que ce jour je pleurs, moi fille n'ayant jamais pleurer même au jours de ma naissance. Surement très rigides, d'énormes blocs de pierres tombales s'étaient affiches devant mes yeux rouges. Ces pierres répondaient au nombre d'une, hébergeant deux personnes que tout le monde considérait comme le couple Moon. Mort par étouffement, cela s'était produit si je me souviens bien, dans le bar dans lequel ma mère travaillait. C'était les seuls causes, &mots qu'avait pu me sortir les policiers étant venues me chercher devant le collège. Je venais d'avoir treize ans, &encore toutes mes dents bien blanches. J'avais eu l'impression d'avoir subie une telle humiliation quand les officiers sont venus me chercher devant toute la cours, mon premier sentiment envers mes parents avaient été la haine, puis quand j'ai vu ses deux pierres tombales j'ai réalisé. J'étais belle et bien seule. Maintenant mes parents ne pourrait plus jamais se disputer devant mes yeux, plus jamais me hurler dessus avec acharnement que je devais prendre ma vie en main. Ses expressions imprimés sur leur visage mécontents restent encrés dans ma mémoire. Me relevant du sol boueux, j'avais décidé de quitter la ville. Pour quelle raison valable ? Refaire ma vie.

Oxford était la ville préférée de mon paternelle, et le milieu un peu pauvre était sa nature. Prenant un petit studio, j'eus décider de m'installer enfin dans cette ville dont j'avais souvent entendus parlait plus jeune. Je ne connaissais pas encore ce système de personnes normales, et riches quand je suis arrivé mais je n'ai prit beaucoup de temps à comprendre comment cette ville fonctionnait. Et pour tout vous dire, ça me plaisait bien. Je pensais pouvoir enfin me sentir à l'aise dans cette ville stupide &pas du tout plus intelligente que moi. Puis vint un nouveau drame, l'incendie de notre campus. Cette incident me rappela directement mes parents mais pourtant je ne montrais pas réellement d'émotions sauf quand la nouvelle tomba. Je ne voulais pas aller dans le même établissements que ses pourris gâtés. Ayant détester les riches tout ma vie car il avait toujours eu se que je n'avais pu posséder, j'étais contre cette idée mais mes études ont pris bien sur le dessus. Je désirais étudier la psychologie car j'aimais apprendre à connaitre les problèmes que pouvait ressentir une personne. Ça me fascinait avant, pendant mon enfance. Mais encore maintenant, ça me fascine toujours. Mais comme je suis encore bien jeune pour comprendre le comportement humain, car moi même je faisais encore les frais de mes erreurs. J'aimais suivre mes envies, &enfreindre les règles données; mais cette fois ci, ce fut l'interdit qui eut partis de moi. J'avais enfin pu connaître le doux parfum de la drogue. Ne contrôlant plus ma fatigue, à force de bouquiner. J'avais commencer par de simples drogues douces, mais au fur et à mesure, je ne contrôlais plus ses grandes envies. Cette substance apportait à mon corps un soulagement glaciale, mais des épines si douces que je ne penses pas un jour m'en défaire. La fainéantise doit être ce pêcher que mon cerveau à accomplie, comme quoi, aucunes personnes n'ai parfaite.

• Gentil ou Méchant
▬ Yourself

Certains sont sage et intelligent, d'autres son rebelle et incontrôlable. Une quinzaine de ligne pour nous faire savoir si ont peut te bousculer dans un couloir sans que tu prennes la mouche, ou si à l'inverse tu nous casseras la figure.Ecrire entre les balises.Ecrire entre les balises.

Si vous vouliez que ma réponse soit claire; je suis désolé de devoir vous décevoir mais je ne sais pas moi même si je fait partie des camps dès méchants ou bien alors de celui des gentils. Certains jours, j'ai l'impression d'être une inconnue pour moi même donc comment pourrais je bien vous répondre. Je sais, vous devez penser que je suis une personne inutile, et je suis bien d'accord avec vous. Dans ma vie, on n'as fait que m'apprendre ce que représenter l'humiliation. Et cela m'a fait comprendre une chose essentiel; je suis irréprochablement inutile. C'est bien à cause de ce sentiment d'un certain rejet que j'essaye de plus en plus de me renfermer sur moi- même. Est ce la peur d'être rejeter, ou bien blesser ? Surement. Je n'aime pas ce douloureux sentiments que l'on peut ressentir qu'en l'on est délaisser de son entourage, ou même juste ignorer. C'est une de mes nombreuses peurs qui me hante. Et je peux bien vous l'avouez, j'ai nombreuse fois le sentiment d'être une de ces pauvres filles incomprises dans leur petit monde. Pitoyable, moi ? Bien sur que je suis de votre avis. Je sais, je suis bourré de défauts comme le fait de me dévaloriser sans cesse, pourtant je ne le fait aucunement exprès. Certaine personnes peuvent trouver ce côté très agaçant ou bien au contraire adorable. Adorable oui, mais quand cette énervante insolence remonte à la surface. Je me met à exprimer clairement tout ses sentiments au fond de moi et ça malgré ma certaine timidité. Ne faisant attention aux moindres sentiments de mon interlocuteur, je deviens quelque peu égoïste sur les bords, ne se souciant que du moment ou je me sentirais de nouveaux bien. N'ayant pas vécus d'en une famille modeste, je n'ai pas connu cette protection qu'avait les autres surement. C'est pour cela qu'il m'arrive souvent d'être fort impulsive dans mes mots, sinon je pense qu'à part mon penchant existentielle pour la drogue, j'ai finis de me présenter un minimum.

Mais dans tout se déluge de fragilité se trouve une magnifique facette de moi. Je vous la présente brièvement. Souriante comme personne, on a souvent comparer mon sourire à l'effet d'une claque sur une personne étant en tout point mon contraire. Ayant cette mauvaise manie de ne pas supporter le faites que l'on peut s'inquiéter pour ma personne, je ressent toujours comme une certaine envie de sourire au gens pour essayer de faire que sa vie est des plus parfaites qu'il puisse exister. Contrairement aux idées reçus, j'aime assez m'ouvrir aux gens, du moment qu'il y a une certaine confiance ou liens entres nous. N'allait pas imaginer s'il vous plait que je ne suis qu'une pauvre poupée en porcelaine: mignonne &fragile. Malgré que cela soit en intégralité, ou presque, vrai. Non pardon, je me trompe. C'est totalement vrai, je ne suis qu'une personne souriante et fragile. Ce sont les plus grandes caractéristiques de mon caractère, mais c'est grasse à mon caractère de pauvre fille que j'ai aimé faire de la psychologie, parce que indirectement, ça m'aide à me comprendre un peu plus.

• Amis, ennemis . Aucune importance
▬ Relationship

Les relations, merci de bien les décrire en un minimum de deux lignes pour chaque relations, que ce soit amoureuses, simples amitiés ou des ennemis enragées.

Nouvelle comme bien d'autres personnes, Isalÿs Skye Moon ne connait encore personnes assez bien pour pouvoir parler pleinement d'eux. Quelques connaissances par ci, par là, des visages peuvent parfois lui taper dans l'œil mais ce n'est pour autant qu'elle va désirer décrire ses relations avec ses personnes dont elle ne connait que le visage.

• Derrière l'écran
▬ Behind the computer

• Pseudo : Konnie
• Age : 13ans.
• Français, Canadien, Autres : Française
• Arrivée sur MTR ? :
Jene sais plus, surement en visitant plusieurs sites.
Puis à la fin, eh bien c'est lui qui m'a plus plu ;D
• Pourquoi cet avatar ? :
J'aime beaucoup Christa; puis &bien c'est tout.
• Commentaires ? :
Euh, eh bien. Jene suis pas chez moi,
donc je ne peux pas faire un fiche présentable,
Alors je pense qu'elle sera finis demain soir