Angel I. Bolgarov [1oo%]

_ Chacun son histoire »_

Il pleut. L’abris de bus est en travaux, du coup il n’y a pas de quoi se protéger. Elle lève la tête pour apercevoir les nuages et les trombes d’eau qui en tombent. Les gouttes s’écrasent contre ses pommettes et glissent sur ses joues comme des larmes. Quelques mèches brune se collent contre son front. L'eau s'écoulent de ses boucles et continuer sa course dans son dos. Elle aime la pluie. Elle a toujours aimé la pluie. Elle aime ce ciel ombrageux qui pleure toutes les larmes de son corps. Elle aime les rayons du soleil qui filtrent difficilement à travers les épais nuages.
Elle tarde à ouvrir son parapluie. Il ne faut pas qu'elle abîme son costume. Elle aurait dû l’enlever. Un ange sur Terre, ailes collées dans son dos, longue robe blanche. Le bus se fait attendre aujourd’hui …
Elle se retourne et contemple les façades du conservatoire. Si on prête l’oreille, on peut même entendre quelques notes d’harpe … C’est beau. Elle ferme les yeux et s’échappe durant quelques secondes. Des bruits de pas la tirent de sa rêverie. Elle réouvre les yeux. Un jeune homme se trouve à côté d'elle. Il a dû courir car il respire comme si il venait de faire un deux milles mètres. Sa respiration est haletante. Il tourne la tête, la regarde. Elle lui sourit, il lui sourit. Un magnifique sourire. Il doit avoir froid. Elle lève son parapluie pour lui offrir un petit coin au sec. Il lève la tête, aperçoit le parapluie. Il est tellement grand qu'elle doit presque se mettre sur la pointe des pieds. Tout à coup, il attrape le parapluie. Sa main touche la sienne. Elle la retire d’un geste vif et la plaque contre sa cuisse.
« Pardon. »
Sa voix grave la fait frissonner.
« C’est rien, murmure-t-elle dans un souffle a peine audible … »
Et ils attendent le bus. Plus personne ne parle. On n’entends plus que le bruit des gouttes de pluie qui s’écrasent contre le macadam et les notes d’harpe qui s’échappent du conservatoire. L’arrivée du bus. Les portes s’ouvrent. Le jeune homme lui tend le parapluie. Elle le prend, le replie, monte dans le bus, en faisant bien attention à ne pas casser ses ailes. Elle tend la monnaie au chauffeur.
« Merci mon petit ange, dit-il en lui tendant un ticket »
Elle le composte. Le bus est vide. Elle prend place au milieu, près de la fenêtre. Le jeune homme s’installe en face d'elle, de l’autre côté du couloir. Le bus démarre. Grand silence. Elle pose ses mains sur la vitre, que la pluie martèle. Tout est flou dehors. Son souffle forme un petit nuage de buée qui apparaît puis disparaît au rythme de sa respiration. Elle glisse un pied sous ses fesses pour mieux voire.
« Tu aimes la pluie ? »
Il ne réagit pas tout de suite.
« Pardon ? »
Elle se tourne vers lui.
« La pluie. Est-ce que tu aimes la pluie ? »
Fit-elle en mettant son index sur la carreau froid au cas où il ne comprendrait pas ce qu’est la pluie.
« Pas vraiment, répond-t-il.»
Le silence qui suit est assez pesant. On entend que la pluie et le moteur du bus qui ronronne. Il y a personne dans le bus. A cette heure-ci, heure de pointe, il est toujours remplit. Peut-être que les gens se sont découragés à sortir sous la pluie.
« Allez avance avec ton tas de boue ! »
Le chauffeur commence à s’énerver. La circulation a l’air difficile dehors. Elle regardait l’extérieur depuis quelques minutes mais elle n’avait pas fait attention qu’ils se trouvaient en plein milieux d’un amas de voitures et de conducteurs tout aussi énervés les uns que les autres. Le jeune homme profite de ce moment pour lui poser une question.
« Tu t’appelles comment ? me demande-t-il »
« Anya. »
Et elle retourne à sa fenêtre.
Il attends sûrement qu'elle lui pose à son tour la question. Mais non. Elle reste absorbée par les gouttes de pluie qui courent sur la vitre.
Il se décide quand-même à répondre à la question inconnue
« Moi c’est Andrei. »

Divine idylle. De quoi faire rêver tout le monde. Un amour nait d'un jour de pluie. On découvre l'être aimé avec des goutelettes d'eau salée roulant sur ses pomettes. De se dire qu'on connait enfin le coup de foudre, le grand amour. Qu'on sera prêt à tout donner pour cette personne, même son âme. Angel pouvait se souvenir des paroles d'Anya, sa mère. Elle lui avait raconter cette soirée tellement de fois! La nuit où elle découvrit l'amour de sa vie. Anya racontait souvent cette histoire à sa fille avant qu'elle ne s'endorme. C'est bien mieux que les histoires de princesses et de princes. Tellement beau. Tellement beau de voir ce couple se regarder avec amour, avec cette petite étincelle que seul les amoureux sincères ont. Tellement beau de voir leurs doigts s'entrelasser alors qu'une petite blonde rigole dans un parc pour enfants de St Pétersbourg. Tellement beau de les voirs se sourires. Tellement beaux de les entendre rires. Tellement beaux de les entendre se susurrer des mots doux. Tellement beaux de les entendre se dire je t'aime. Tellement beau de les entendre lui dire je t'aime.
C'était tellement beau.

Angel Ivannah Bolgarov est née dans une petite bourgarde de Russie, un petit patlin qui ne jure que par la nature et l'agriculture. Andrei étant éleveur de moutons, Anya mannequin pour des petites publicités russes, pas de carrière mondiale. Pas de riches parents avec la petite héritière bourrée aux as dès son plus jeune âge. Rien de tout ça. Les parents de la petite blonde aux yeux bleus très expressifs et au sourire charmeur et enfantin n'avaient pas de quoi offrir à leur fille tout ce qu'elle voulait, elle avait juste quelques jouets et des livres dans sa chambre, rien de plus. Mais l'argent ne fait pas le bonheur. Ses parents ont su lui donner des valeurs sûres pour sa vie. Elle en fit une petite fille parfaite. Elle travaillait bien à l'école, faisait de la danse classique, souriait aux gens, était polie, la petite fille rêvée en somme. Celle que tout le monde voulait avoir. Celle que les parents enviaient à la sortie de l'école. Celle qui rendait leurs parents heureux malgré la crise qui s'annoncait et le manque de plus en plus important d'argent. Arriva un jour ou les dettes étaient bien trop élevées pour leurs petits salaires. Ils vendirent la ferme familiale et allèrent s'installer à St Pétersbourg. Anya trouva un emploie en tant que secrétaire et Andrei travaillait dans une boutique d'agriculture. La grande ferme se transforma radicalement en un petit appartement où toutes les pièces étaient petites. Ils ne roulaient pas sur l'or auparavant mais là ils ne roulaient pas sur le bronze. Angel avait alors 6 ans. Andrei lui fit découvrir la guitare de son grand-père mort au combat. Seul objet qui lui restait de son propre père. Angel se passionna pour cet instrument ne pouvant passer une journée sans gratter les cordes. L'argent manquait de plus en plus et Andrei se fit virer de son travail. Argent manquant, Andrei cacha à sa famille ce qui venait de lui arriver. Il tomba dans les vices de la vente de drogues. Plus de soucis d'argent durant l'espace d'un an. Les sucreries apparessaient dans les placards, l'achat d'un piano pour Angel aussi. La petite savait ce pourquoi elle était faite: la musique; la guitare et la piano. Elle avait alors 8 ans, tout allait bien. Tout allait bien.

La porte sonne. Ca la réveille quelque peu. Elle sort la tête de sous la couette, tend l'oreille. La petite blonde a toujours été curieuse. Elle se lève, faisant claquer ses petits pieds sur le parquet. Elle entre ouvre la porte et appercoit son père se diriger vers celle de l'appartement. La porte grince, deux silhouettes, la voix de papa, un coup de fusil, papa rouge au sol, le crie de maman, un autre coup de fusil, suivit d'un autre, maman au sol, mes larmes qu'elle cache. D'instinct, elle part se cacher sous son lit, son ours en peluche dans les bras. Des voix, des pas dans la maison, puis plus rien.

Angel fut découverte le lendemain matin par les policiers de la criminelle, évanouhie sous son lit. Les tueurs furent retrouver et emprisonnés, la petite placée à la das. Petit enfant chéri de la das, elle connu d'autres enfants sans parents, et c'est à ce moment là qu'elle changea du tout au tout. Se méfiant des gens, elle se cacha très vite sous un masque. Apparence froide, visage terne, éteint, plus aucun sourire. Ses trois prochaines furent durent, elle mit du temps à faire le deuil de ses parents se renfermant sur elle-même, sur la guitare et le piano. Elle devint aggréssive pour se protéger, froide, répondant aux gens; toujours pour se protéger. Elle se méfiait des gens. Elle a du mal à accorder sa confiance. Elle a peur des gens. Elle n'est pas sociable. Mais une fois qu'on la connait, son masque tombe; elle est spontannée, joyeuse, souriance, joueuse et chaleureuse. Il faut apprendre à la connaitre et lui donner du temps.

« Oh c'est la piste d'E.T, tu sais les trucs des extraterrestres, les graaands trous qu'il y a dans les champs!
Mais nan, c'est un trou pour la piste d'atterissage des hélicoptères, t'es con! »

Elle écarte les bras et tourne sur elle-même le sourire aux lèvres tant dis que Elena s'allonge sur la piste d'attérissage des hélicoptères. Autour d'elles, de l'herbe. Il devait être deux heures du matin, pas plus. Elles avaientt bu avant de décider de sortir fumer et de faire une balade. Aucune d'elles deux ne marchait droit, elles se tenaient la main mais on pouvait voir qu'elles n'étaient pas très parallèle dans leur petite ballade. Angel tournait toujours sur elle-même pendant que El' passait ses mains dans ses cheveux. L'espace d'un instant elle cru que tout allait ressortir mais non. Elle sourit avant de s'allonger aux cotés de son amie et de prendre sa clope. Elle tire dessus et se concentre sur une tour qui lancait une sorte de flash à temps régulier. Elle tire encore sur la clope, crache une bouffée de fumer avant d'entendre Elena lui demander une souflette. Dit, fait. Angel tire encore avant de se mettre sur elle, bouche contre bouche, et de souffler. Elle se retire en rigolant tout comme son amie. Elles étaient bien. « Y'a quelqu'un la-bas. » Angel tourne la tête et voit une ombre qui s'approchait. Elle se lève et va à sa rencontre tant dis que El' faisait pareil mais avec plus de mal. « Vous aurez du feu? » Ouep, elles ont. Elle sort son briquet et elles engagent la conversation, tous les trois assis par terre. Julien, 18 ans, il était sortit pour se balader et fumer et a entendu du bruit, leus deux filles de 16 ans. Il leur demande si elle étaient défoncées. Elle lui rigolent au nez comme réponse, lui il se foutait d'elles, de leurs états. Il commencait à pleuvoir quelques gouttes. Les jeunes continuaient de parler avant de bouger. Ils avancaient dans le parc, marchant toujours pas droit mais se raccrochant cette fois-ci au bras de Julien. Ils tombent sur trois mecs qui fumaient à l'abris, sous une sorte de préau. Hum, quelle délicieuse odeur. Les deux jeunes filles se prirent un 10e tant dis que Julien se prenait lui un 20e. Ils fument, elles allongées sur le sol. La tête d'Angel lui disait 'rigole' alors elle rigolait sans même savoir pourquoi, elle le faisait. Débile umh? Elles terminent le join avant de rentrer chez 'elles', au centre d'acceuil pour jeunes sans parents, accompagnées des gars qui rentraient aussi. Arrivées devant la grande maison, Mark se charge de les raccompagner jusqu'à leurs lits mais par la fenêtre, il ne fallait pas que les instituteurs chargés des jeunes apprennent leur ballade nocturne. Sans parents, sans model, on fait n'importe quoi; on boit, on fume. Quelle est belle la jeunesse dépravée.

A ses 18 ans, elle s'envola pour Oxford, diplôme russe avec option art en poche. Elle trouva un appartement, et continue ses études dans le domaine de la musique jusqu'à temps qu'un incendie brûle les murs de l'université. Plus de peur que de mal. Les étudiants sont maintenant obligés d'aller étudier dans l'université des riches; merci bien. Angel n'aime pas les riches qui ont toujours eut tout sous la main. Pour sûr elle va s'y plaire! Ironie ironie.. Toujours caractère froid et aggréssif avec les inconnus, toujours paquet de cigarettes dans le sac, toujours un join lorsqu'elle sortait ou lorsqu'elle est seul, toujours boire lorsqu'elle sort. L'avenir seule lui dira où elle ira. Tout est entre ses mains frèles.

_ Méchante ou Gentille ? _

Ni l'un ni l'autre. Elle peut être adorable avec ceux qu'elle aime, un vrai petit ange comme son nom l'indique mais un vrai diable avec ceux qu'elle ne connait pas. Rien de pire que de s'appeler Angel alors qu'on n'a rien d'un ange. Sa mère a eut la très chère idée de la nommer ainsi, au début tout collait bien, petite blonde travailleuse, petite fille parfaite mais plus depuis la mort de ses parents. Un fort caractè. Elle se protège des gens comme elle le peut, que voulez-vous. Petite blonde au fort caractère, elle a changé de couleur de cheveux troquant le blond clair au rouge; signe d'un renouveau, qu'elle lancait sa nouvelle vie ici, à Oxford, cachant les traits de son triste passée. Elle veut tout recommencer à zéro sans oublier d'où elle vient, juste en ne dévoilant pas ce tragique épisode qui la changea du tout au tout. Elle est d'apparence froide et solitaire, les gens ne viennent pas lui parler directement et c'est tant mieux. Elle est souvent seule dans les couloirs de l'université. Les gens l'appelent 'la mystérieuse'. C'est vrai, personne ne la connait et personne n'a envie de la connaitre. C'est une râleuse née, elle n'aime rien et rien ne l'aime. Toutes situations la fera râler. J'aime ci j'aime pas ça. Elle n'aime pas trop son corps, fin, grand, sans forme. Elle n'est pas comme toutes ces mannequins qui posent pour vogue. Elle est grande certe, maigre certe, mais sans formes! Des petits seins et des fesses plates. Elle n'aime pas son corps. Remarquez, elle n'aime rien sauf ses cheveux. La rousse est aussi une malchanceuse. Tout ce qui a de pire lui tombe dessus. Elle a déjà eut un lourd passé, elle n'a pas été gâter et bien toujours aujourd'hui elle n'est pas gâtée. Par exemple, en hiver, lorsque le sol a gelé, tout le monde évite la petite trace luisante, Angel se dit qu'il faut l'éviter et allez savoir pourquoi, elle marche en plein dedans et tombe. Ah oui, aussi, elle ne tient pas sur ses jambes. Elle est droite, debout, tranquilement et d'un coup, elle tombe mais se récupère sur ses jambes.

Bizarre cette fille, il vaut mieux ne pas la connaitre. Lorsqu'on la connait, on découvre une fille très spontannée et extravertie n'ayant pas peur du ridicule. Toujours souriante, elle est beaucoup plus belle quant vous la connaissez. Elle est aussi une bosseuse qui sait où elle va. Personne ne pourra la faire changer de cap. Ah aussi! La demoiselle aime changer; ne pas être la même physiquement. Elle change donc facilement de couleur de cheveux mais gardant son style vestimentaire rock, un peu grunge.


'Je suis russe, j'ai d'ailleurs un léger accent d'après les rares personnes que je cotois. Oui, caractère de chien, personne m'aime, j'aime pas les gens, tout va bien. Je sortis mon paquet de clopes de mon sac bandoulière noir ainsi que mon briquet et en alluma une avant de rejoindre les souterrains pour me rendre dans le métro londonien. Je le fréquentais souvent, tous les jours pour me rendre en cours d'ailleurs. Oui, j'ai pas un très grand revenus, pas les moyens de prendre un taxi, d'avoir une voiture ou carrement d'avoir une voiture avec chauffeur! Et oui, on est pas dans Gossip Girl, je fais partis de la catégorie des Humphrey.

Je m'engoufrai dans les souterrains et sortis ma carte de ma poche arrière pour la passer dans la machine mais comme par hasard, je choisis la machine où une vieille passait. Elle prit tellement de temps que je soupirais en allant à une autre machine. Elle me regarda avec un air de défis. C'est pas parce qu'elle est vieille qu'elle a un quelqu'onc droit sur les jeunes. Je la provaquai du regard.

« Quoi? Tu veut ma photo? »

Elle ne répondit pas, choquée. Quelle arrogance je viens de faire preuve, wouuh. Je suivis les longs couloirs avant de tomber sur le quai. Il y avait beaucoup de monde et le prochain métro passait dans..15min?! Non pas possible?! Je plissai les yeux pour essayer de mieux voir, comme si les plisser ferait changer le nombre qu'il y avait inscrit sur le panneau. Je soupirai une nouvelle fois avant de me retourner pour voir s'il y avait de la place assise. La petite vieille de la machine se précipita (tient elle sait se dépécher?) pour prendre la seule place qu'il restait. Elle me regarda contente d'elle-même. Un sourire aux lèvres, je passai tout proche d'elle et fit valser sa canne en passant. Sans me retourner je continuais mon chemin, comme si je ne l'avais pas vu, pas fais exprès. Je m'installa par terre, contre le mur, sur un bout du sol à peu près propre. Seule personne assise, tout le monde me regardait. Heureusement que l'on meurt pas de honte! Je sortis mon portable et envoya un sms à Little H. 'J'arrive dans 30min, le métro fait des siennes, il passe dans 15min'. Elle, contrairement à moi, devvrait surement arriver en voiture ou en taxi. Quelle chance. Je m'amusai avec mon portable quant il se mit à partir devant moi et en s'ouvrant en deux fesant partir la batterie droite et la coque à gauche. Madame Poisse? Oui je suis là! Je grommelai et commenca à me lever quant je vis que mon portable n'était plus là où il était tombé. On me l'a volé?! Qui est-ce qui peut s'interesser à un portable aussi vieux et nul? Je cherchais par terre mais le trouvait pas. S'ayait, c'était trop, je m'énervai.

« Qui est ce qui a prit mon portable? criai-je dans le métro. »'

Froide certe, mais elle ne se laisse et laissera jamais marcher sur les pieds. Fort caractère bien trempé, mystérieuse/extravertie, double facette, clopeuse, drogueuse, musicienne, travailleuse, ambitieuse, à vous d'accrochez ou non. Vous connaissez maintenant Angel Ivannah Bolgarov.

_ T'as pas d'ami ou bien ?_

La rousse a plus d'ennemis que n'importe quelle personne normalement constituée. Elle impose la distance avec les gens, se protégeant. Masque devant le visage, on la connait comme une personne froide, toujours dans son coin, répondant aux gens, aggressive mais masque enlevé on tombe sur une fille souriante, qui sautte partout, extravertie n'ayant pas peur du ridicule. Un truc sur patte tout frêle, tel un ange déchu avec de grand yeux bleus. Elle vient d'arriver à Oxford il y a six mois et n'a seulement des connaissances et des ennemis. Pour se qui est de longues amitiés, elle a tout laissé derrière elle, en Russie, les adieux ont été dur mais elle se concentre maintenant sur le présent ne se retournant plus en arrière, ne regrettant rien, plus rien. Avis aux amateurs qui veulent entrer dans son coeur: il faudra s'armer de patience.

_ Toi, petit RPgiste _

• Pseudo : Laaeti.
• Age : 16 ans
• Français, Canadien, Autres : Double nationalité: francaise/croate (:
• Arrivée sur MTR ? : Umh.. m'en souviens plus xD
• Pourquoi cet avatar ? : J'aime Jessica Stam
• Commentaires ? : J'adore le design et ce rpg a l'air bien (:


I don’t wanna change, I wanna stay right where I lay, eyes closed head down on the pillow.
I better change before it’s too late. I’m guessing this is growing up.