Dorian Alexander Frazer

_ Méchante ou Gentille ? _

Dorian. Un être complexe, une personne difficile à cerner. Aux premiers abords, Dorian vous apparaît comme une personne arrogante, imbus d’elle même et cruellement populaire. Vous remarquez toutes ces filles à ses côtés qui boivent ses paroles comme du petit lait ? Une prestance, un charme indéniable, une assurance, Dorian plait, et il le sait. Un simple de ses sourires dévastateurs suffit pour les rendre à sa merci. Sportif, sociable, fêtard, riche, il n’est pas étonnant qu’il soit aussi aimé. Enfin tout du moins qu’on veuille faire parti de son entourage. N’est ce pas normal ? Quiconque le fréquente, voit sa côte de popularité augmenter en flèche. Ainsi Dorian reflète une image de playboy, pourri gâté, matérialiste, prétentieux et séducteur. Le parfait cliché du beau gosse sportif, populaire et riche, dont tout semble lui sourire, et de ce fait qui en énerve plus d’un. Seulement ce serait une grave erreur de le confiner à cette seule image réductrice.

Dorian est en réalité un être à l’esprit torturé, hanté par son passé. Les épreuves qu’il a vécues dans sa vie l’ont rendues plus fort. Mais aussi plus dur. Plus cynique. Le sarcasme est une de ses armes favorites pour se protéger. Difficile d’avoir une conversation sérieuse avec lui pendant plus de deux minutes, détestant s’étaler sur ses émotions. Il ne montre que rarement ce qu’il ressent, voir jamais. Il se cache derrière une bulle de protection et veut difficilement en sortir.

Rebelle, anticonformiste, Dorian a tendance à ne respecter aucune règles, mais plutôt à imposer sa loi. Il fait ce qu’il veut, quand il veut, voilà sa devise. Nul ne peut lui dicter sa conduite, c’est lui qui décide. Mentalité qui lui pose souvent problème, étant donné que la majorité des adultes ne voit pas les choses de la même manière. Mais peut importe, il ne se soumettra pas à leur autorité pour autant. Personne ne le peut. Dorian est incontrôlable. Imprévisible. Fougueux. Provocateur. Dorian est loin d’être un être réfléchi et raisonnable. Il est sanguin, réagit au quart de tours. Il préfère la passion à la raison. L’action à la passivité.


_ T'as pas d'ami ou bien ?_

Les relations, merci de bien les décrire en un minimum de deux lignes pour chaque relations, que ce soit amoureuses, simples amitiés ou des ennemis enragées.

Luiziah C. Thirlby Ashley Tisdale

Citation :

Luiziah. La seule femme que j'ai jamais aimée. Et que j'aime toujours. Seulement j'ai tout fait foiré lors d'une soirée arrosée ou j'ai tenté...de la violer. Je sais, c'est méprisable, moi même je me dégoute. Mais je veux changer, pour elle. Je ne suis pas prêt à la laisser partir, je sais que je peux m'améliorer, il faut qu'elle me laisse une seconde chance.

Sober K. Dwaynès Taylor Kitsch.

Citation :

Le frangin de mon ex petite amie. Entre lui et moi ça n'a jamais été l'entente. Dès qu'il a su que je sortais avec sa soeur, il a désapprouvé farouchement. Il ne m'aime pas, et ça tombe bien c'est réciproque. La dernière fois que je l'ai vu ? Il m'a tout simplement cassé la gueule et envoyé à l'hosto avec quelques côtes fracturées. Mais je ne lui en veux pas, je l'avais mérité. Je ne compte pas me venger. Mais une chose est sure, la prochaine fois qu'il tente de poser les mains sur moi, cette fois ci je me défendrais.

_ Toi, petit RPgiste _

• Pseudo : LIzette
• Age : 17 ans
• Français, Canadien, Autres : Française
• Arrivée sur MTR ? : Je suis Adriel
• Pourquoi cet avatar ? : Parce que j'aime bien Kellan et surtout le scénario qui va avec
• Commentaires ? : //

_ Chacun son histoire »_

-Félicitation madame, z’avez là un beau garçon
-Dorian Alexander Frazer. Il est magnifique n’est ce pas ?
-Oui ma chérie.
Le 23 juin. Jour de la naissance du petit Frazer. Un moment merveilleux pour ses parents, Veronica et Stan Frazer, qui attendaient cet enfant avec impatience. Après 9 mois de douleur et d’angoisse, enfin, ce petit être était venu au monde. Le symbole de leur amour pur. Cette belle petite famille avait tout pour être heureux. Stan Frazer, 29 ans, jeune avocat à la carrière plus que prometteuse, respecté. Et Veronica Frazer, 25 ans, étudiante en médecine qui rêve de devenir un grand chirurgien, héritière d’une grande fortune. Les deux se sont rencontrés lors d’un dîner mondain, organisé par les parents de Veronica, à vrai dire, ceux sont eux qui ont tenu à la présenter à Stan. Ils supposaient qu’il ferait un excellent parti. Et en effet, la demoiselle tomba très vite sous son charme, en plus vite qu’il ne fallait les voilà mariés avec un enfant. L’union parfaite. Enfin c’est ce que tout le monde croyait. Mais peu après la naissance de Dorian, Veronica allait très vite déchanter. Peu à peu, la vraie personnalité de son mari se révélait. Au début, cela commença par quelques réflexions par ci par là, mais rien de bien inquiétant en soit. Seulement au fur et à mesure que les années passaient, et que la carrière de Stan grandissait, plus ça empirait. L’homme charmant, attentionné et doux qu’elle connaissait se transformait en cet être cruel, autoritaire et dominateur. Quand Dorian eut enfin atteint 3 ans et qu’il entra à l’école, c’est tout naturellement que Veronica voulut reprendre ses études de médecine, mais son mari l’en empêcha, réussissant à le convaincre que c’était mieux pour tout le monde si elle se faisait mère au foyer. Monsieur voulait une épouse dévouée à sa maison et à son mari. Une femme au foyer, passive et docile. A ses côtés, elle avait perdu toute notion d’indépendance et d’amour propre, lui en ayant même fait cadeau. Elle l’avait autorisé à contrôler sa vie. Veronica n’était plus qu’un pantin dans ses mains. Seul son fils lui permettait d’entrevoir un rayon de soleil, elle le chérissait de tout son cœur. Mais au fil du temps les choses devinrent de pire en pire. Stan la rabaissait, la critiquait sans relâche. Pour saper sa confiance en soi, lui ôter toute velléité d’indépendance. Veronica en était arrivé au point de ne plus oser prendre une décision sans le consulter. Elle lui demandait comment elle devait s’habiller, se coiffer, se nourrir. Plus elle avait besoin de lui, plus il la rabaissait. Dorian quand à lui, était trop petit pour se rendre compte de la situation. Il idolâtrait son père, n’ayant le droit qu’à ses bons côtés. Il était peu présent, mais à chaque fois il savait se montrer adorable avec lui. Lui lisait des histoires, l’emmener à DisneyLand, jouait avec lui. Il n’avait aucune idée de la manière dont il traitait sa mère. D’ailleurs il ne comprenait pas pourquoi souvent il surprenait sa mère en sanglots. Il lui semblait toujours que c’était de sa faute, et se demandait bien ce qu’il avait fait pour rendre sa maman malheureuse. Ce n’est que vers l’âge de 8/9 ans, que tout commença à s’éclairer pour lui. A apercevoir le vrai visage de son père. Comment ? Un jour il surprit une de leur conversation.

- Je sais tout. Tes soit disant dîner avec des collaborateurs, tes heures supplémentaires… Toi qui rentre de plus en plus tard. Tu me trompes.
- Ma pauvre fille…Ce n’est que maintenant que tu t’en rend compte ? Allons allons, un homme comme moi à des besoins, et il est normal que je les assouvisse. Tu ne croyais tout de même pas que TOI me suffisait ?
Stan affichait un air suffisant, et un sourire moqueur. Il se fichait éperdument d’elle.
- Mais je…
- La ferme. Tu n’es rien ici d’accord ? Non mais regarde toi sérieusement ! Tu n’es qu’une bonne à rien, tout juste capable de faire la cuisine et le ménage, et encore. Ce que je fais à l’extérieur ne te regarde pas, je n’ai aucun comptes à te rendre. Maintenant retourne à ta popote et arrête de m’emmerder.
- Non.
- Comment ça non ? Tu va faire ce que je te dis un point c’est tout !
Stan détestait être contrarié, et qu’on ose lui répondre. Surtout venant de sa femme. Il commençait la rage montait en lui.
- Non. J’en ai ras le bol que tu me donnes des ordres, m’humilie sans cesse, me rabaisse…C’est fini. Je n’en peux plus. Je te quitte.
Comment osait elle ? Le sang lui montait au cerveau.
- QUOI ?! Tu n’a aucuns droits, c’est moi qui décide dans cette baraque ! Et jamais, tu m’entends, jamais je ne te laisserais te barrer. Tu es à moi. Tu m’appartiens.
- Tu ne peux pas m’en empêcher.
- Oh tu crois ça ? Dis toi que si tu oses franchir cette porte, plus jamais tu ne reverras ton fils. Je ferais en sorte de t’en retirer la garde, de te faire passer pour folle, crois moi que je m’en assurerais.
- TU ne peux pas…Personne ne te croira.
- Oublie tu que je suis un éminent avocat ? Respecté ? Aimé ? Bien sous tout rapport ? Qui crois tu qu’on croira ? Moi ou toi une femme déprimée, gavée de médoc et d’anxiolytiques ? Instable ? Tu sais que tu n’a aucune chance.
Et Stan avait raison, elle le savait. Avec toutes les relations dont il jouissait et son excellente réputation, il avait plus que les moyens pour la priver de son fils. Pour toujours. Et ça elle ne pouvait pas. Veronica éclata en sanglots, prise au piège.

C’est ainsi que Dorian prit conscience de la gravité de la situation. Du monstre qu’était son père, qui voulait le priver de sa mère. Dès lors, Dorian se montra beaucoup plus gentil avec elle, voulant être un fils irréprochable. Il commença même à la défendre des attaques de son père, prenant sans cesse son parti. Grave erreur, parce que depuis, Stan se montrait encore plus dur, et pour la première fois, il en vint même à porter la main sur sa mère. Le pire c’est quand il était saoul, il pouvait se montrer d’une violence… Alors à l’adolescence, quand les sévices physiques s’étaient rajoutées aux violences verbales, Dorian avait craqué. Il avait menacé de tuer son propre père. Un jour, au réveil d’un de ses profonds sommeils éthyliques, Stan s’était retrouvé attaché au lit par les poignets et les chevilles, Dorian pointant un couteau sous sa gorge. S’il s’avisait de toucher une fois de plus à sa mère, il l’égorgerait comme un porc avait il juré. Dorian pensait réellement ce qu’il disait, et son père l’avait sans doute cru, car il ne s’était jamais hasardé à recommencer depuis.

C’est à l’âge de 15 ans que sa vie prit un nouveau tournant. Alors qu’il rentrait du lycée, il découvrit la police à son domicile. Lorsqu’il pénétra dans la maison, il vit sa mère, assise sur le canapé, le visage vide d’émotions.
- Maman…qu’est ce qui se passe ?
- Ton père est mort.
- Quoi ? Mais comment ?
- Un accident de voiture. Ses freins ont lâchés, il aurait perdu le contrôle du véhicule, qui a fait une embardée pour finir encastrer dans un mur. Il est mort sur le coup. Il n’a même pas souffert…
- Maman ça va ?
- Oh oui parfaitement. Une pourriture de moins dans ce monde. Je commence à croire qu’il y’a une justice Divine après tout. Ce salaud n’a eut que ce qu’il méritait.
Et bien que c’était terrible à dire, mais Dorian pensait la même chose. Lorsqu’il apprit la nouvelle, il ne ressentit aucun chagrin, mais un profond soulagement. Le monde ne se porterait que mieux sans lui. Depuis il remerciait Dieu chaque jour pour l’avoir repris. Dieu ? Ou quelqu’un d’autre ? En effet les circonstances du décès de son père étaient plutôt bizarres. Sa voiture avait subit un contrôle technique quelques jours auparavant, et les mécanos n’avaient rien détectés d’anormal. Et voilà que plusieurs plus tard, les freins lâchaient ? Néanmoins le rapport officiel fut déclaré : accident du à une défaillance technique. Fin de l’affaire. Seulement il subsistait un doute dans l’esprit de Dorian. Au vu du comportement de sa mère, il se demandait si elle n’avait pas elle même trafiqué les freins… Sa mère aurait elle pu tué son père ? Dorian ne lui avait jamais posé la question, et préférait ne pas savoir. Après tout, tout ce qui comptait, c’est que ce salaud avait disparu, le reste n’avait pas d’importance, en tout cas pas à ses yeux.

Ensemble, tous les deux, ils purent reconstruire leur vie. Sa mère reprenait peu à peu goût à la vie, sortait, se faisait des amis…Elle reprit même ses études, chose qu’elle avait toujours rêvé mais dont Stan l’en empêchait. Aujourd’hui c’était chose faite. Dorian ne l’avait jamais vu aussi heureuse que maintenant. Ils laissaient leur passé derrière eux, c’était une nouvelle vie qui commençait maintenant. D’ailleurs pour marquer le coup, ils déménagèrent dans une nouvelle ville, à Londres. Riches – n’oublions pas qu’elle était héritière d’une immense fortune, ça plus les millions qu’ils ont touchés grâce à l’argent de l’assurance vie – ils vivaient dans le luxe, bien que ça a toujours été le cas. Seulement là ils étaient libre d’en faire ce qu’ils voulaient, et sa mère lui laissant carte blanche avec la carte bleu, Dorian pouvant s’acheter tout ce qu’il désirait. Voiture de luxe, vêtements de marque… Au lycée, personne ne connaît son histoire, et la vie qu’il a eut avant d’arriver ici. Il n’en parle jamais. C’est ainsi qu’il passe pour le beau gosse, riche et populaire, privilégié, qui a toujours eut ce qu’il désirait dans la vie. Et Dorian préfère ne pas les contredire sur ce point. Côté cœur, ses relations avec les filles se sont toujours contentées d’être superficielles. Basées essentiellement sur le sexe. Ayant une image du couple complètement négative du à ses parents, Dorian se refusait à tomber à la bassesse de l’amour. Qu’est ce que c’est de toute manière ? Pour lui ça n’existait pas. Alors il continuait de sortir avec toutes les filles qu’il croisait, à faire la fête, à boire… Ha oui, un point sur lequel il faudrait s’attarder quelques instants. Depuis qu’il a goûté à l’alcool et à son effet enivrant, Dorian boit. Beaucoup même. Une sorte d’échappatoire. Attention il n’est pas alcoolique non plus, seulement lors des fêtes ou dès qu’une occasion se présente, Dorian y va fort sur l’alcool. Malheureusement, lui + alcool ne sont pas deux bons mélanges. Cela a des effets dévastateurs sur lui. Lorsqu’il est saoul, il perd tout contrôle, fait du grand n’importe quoi…Et peut se révéler violent.

Une fois le lycée finit, Dorian entra sans problèmes à la prestigieuse fac d’Oxford, section sport. Il rêve de devenir joueur professionnel de football américain, surtout que c’est un excellent joueur. Au moins une discipline dans laquelle il excelle. C’est à la fac qu’il fit la rencontre de la sublime Luiziah Thirlby. Dès qu’il a posé les yeux sur elle, il la voulait. Dès lors il mit tout en œuvre pour qu’elle succombe à son charme. Mais ce qu’il n’avait pas prévu, c’est que lui aussi craque pour la belle…et sincèrement. Il mit pas mal de temps avant d’accepter et affronter ses propres sentiments, lui qui s’était promit de ne jamais tomber amoureux. Seulement on ne choisissait pas, c’était l’amour qui frappait à votre porte, au moment le plus inattendu. C’est ainsi que débuta une relation d’amour entre Luiziah & Dorian. Un couple atypique. Critiqué. Personne ne comprenait comment Luiziah la douce avait pu tomber dans les filets de Dorian. Tout le monde pensait que c’était du bidon, qu’il se servait d’elle, et qu’à un moment donné ou un autre il allait se lasser et la jeter comme une veille chaussette. Que leur couple n’était destiné qu’à l’échec. Et au final, ils avaient peut être raison.

L’évènement se produisit lors d’une fête, où l’alcool coulait à flots. Le jour de l’anniversaire de la mort de son père. Je ne sais pas si c’était vraiment une excuse, mais le fait est que ce soir là, il se mit à boire plus que de raison. Beaucoup trop. Généralement lorsque cela lui arrivait, sa petite amie ne faisait pas parti de la fête. Sauf que là, oui. Dorian était comme dans un état second, il ne savait plus ce qu’il faisait. Il monta dans une des chambres avec Luiziah et commença à l’embrasser… Sauf que celle-ci ne voulait pas.

« Dorian, s'il te plaît, lâche moi, je n'en ai pas envie. ARRÊTE, j'ai dis »

Mais Dorian n’écoutait rien, à vrai dire n’entendait même pas ses paroles. Elle se débattait mais lui continuait. Il l’empoigna et la colla au lit, l’embrassant sur la bouche, dans le cou… Etant bien trop fort pour elle, Luiziah n’avait aucun moyen de fuir. Et Dorian n’avait pas l’air prêt à lâcher l’affaire. Heureusement elle eut le réflexe de crier, ce qui attira l’attention sur les invités qui accoururent ni une ni deux, les séparant. Ce ne fut que lorsqu’un de ses potes l’agrippa qu’il prit conscience de ce qu’il était sur le point de faire.

« Oh mon dieu je suis désolé… » Il ne faisait que répéter ces paroles pendant qu’on l’emmenait ailleurs, très loin de Luiziah. Depuis cet incident, Dorian s’en veut à mort. Jamais il n’avait voulu lui faire de mal…Il s’était toujours promit de ne jamais devenir comme son père, et pourtant c’est l’impression qu’il avait. Comment avait il pu faire ça ? Ses propres actes l’effrayaient au plus au point. Se tourmentent l’esprit sur ce qui aurait pu se passer si personne n’était intervenu… Il aimait à croire qu’il serait revenu à la raison et se serait arrêter à temps, seulement il savait que c’était faux. Dorian l’aurait violée, ni plus ni moins. Depuis Dorian a essayé de la joindre un million de fois pour s’excuser, pour qu’elle lui pardonne. Mais jamais elle ne répondait. Il a réussi à la voir, lui promettant que plus jamais il ne recommencerait, qu’il allait arrêter de boire, qu’il voulait changer…Mais Luiziah l’envoya bouler. C’est la dernière fois qu’il lui parla. En revanche peu de temps après il eut le droit à une petite visite de la part du frangin…Et cela n’avait rien d’une visite de courtoisie. Dorian comprenait parfaitement, d’ailleurs il s’y attendait. Il avait plutôt été surpris qu’il ne soit pas venu plus tôt. Dorian ne chercha même pas à se défendre, après tout il considérait l’avoir mérité. Résultat des courses : Sober l’envoya direct à l’hôpital, avec quelques côtes cassées, et des contusions au visage. On peut dire qu’il n’y était pas allé de mains mortes.

L’arrivée des classes moyennes dans leur campus ? Dorian s’en fou pas mal. Tout ce qui compte pour lui en ce moment, c’est de reconquérir le cœur de sa belle.