Alec G. Landsbury; UC

_ Méchante ou Gentille ? _

Certains sont sage et intelligent, d'autres son rebelle et incontrôlable. Une quinzaine de ligne pour nous faire savoir si ont peut te bousculer dans un couloir sans que tu prennes la mouche, ou si à l'inverse tu nous casseras la figure.

_ T'as pas d'ami ou bien ?_

Les relations, merci de bien les décrire en un minimum de deux lignes pour chaque relations, que ce soit amoureuses, simples amitiés ou des ennemis enragées.

River S. Hellwood Kristen Stewart.

Citation :

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Adriel J. Everton Robert Pattinson.

Citation :

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_ Toi, petit RPgiste _

• Pseudo : Fay', JJ, Bouricot >.>
• Age : 18ans
• Français, Canadien, Autres : Suisse
• Arrivée sur MTR ? : Par Zaccy <3 Soit, River v_v
• Pourquoi cet avatar ? : C'est le scénario qui m'a plu, après l'avatar ... JKapone est pas mal x)
• Commentaires ? : //

_ Chacun son histoire »_

Alec ;ou la juste suite d’un amour.

Tout commença lors d’un casting pour le premier rôle d’une pièce de théâtre à Londres. Les Landsbury ayant fait fortune en investissant dans le spectacle avaient une place de choix à chaque sélection et se devaient d’y participer pour donner leur mot. En premiers investisseurs, le théâtre se pliait à cette exigence et c’est ainsi que l’héritier de la famille se retrouva assis derrière une table à se demander ce qu’il fabriquait ici. Lui, il n’en avait que faire des chanteuses d’opéra capable de briser du verre. Il voulait devenir producteur de musique et dévoiler des stars. Et se faire de l’argent sur leur dos avant de les jeter si elles ne ramenaient plus rien. Joli mode de pensée. Néanmoins, il était assis sur une chaise, certes confortable, mais de mauvaise humeur. Au bout d’auditions qui durèrent une éternité, il louchait sur sa montre car il avait faim et rêvait de son rôti de bœuf accompagné d’une patate. Il commençait même à être désagréable et je dirais même plus. Personne n’était épargné, homme ou femme. C’est ainsi qu’une demoiselle Firmin se présenta pour le rôle principal et le Landsbury ne cacha pas son exaspération. Quand elle eut fini, il reçut un petit coup de coude pour le rappeler à l’ordre et de mauvaise foi, il ne put que lâcher :

« Jolie tenue de péripatéticienne, mais nous n’auditionons pas pour « Moulin Rouge ».
« Je vous demande pardon ?

Ainsi se passa la première rencontre entre le père et la mère d’Alec. Elle se passa bien mal évidement. La jeune Firmin eut vite fait de taper du pied et pleurer, si ce n’est presque insulter face à la remarque du Landsbury qui comprit qu’il venait de faire une belle erreur à voir les yeux des gens et qu’il allait le payer. Le soir à la maison, il reçut en effet l’ordre d’aller voir le lendemain la jeune femme et de s’excuser platement et de lui dire qu’elle avait le premier rôle, qu’importe qui elle était. L’image primait et le jeune homme l’apprit amèrement. Il était bien vaniteux et c’est en traînant les pieds qu’il se présenta devant la Firmin dont il découvrit bien vite le côté comédienne et calculatrice. Elle le remercia plus ou moins de l’avoir aidé à acquérir le rôle alors qu’il y avait bien meilleure qu’elle. Sans lui, elle n’aurait sans doute dû se contenter d’être une danseuse ou autre rôle secondaire. Cela attira l’attention du Landsbury qui trouva cela plus marrant finalement. Après être resté vexé un bon moment d’avoir été utilisé. Comme dans pas mal d’histoires, ils se prêtèrent au jeu « je suis meilleur que toi » avant de craquer l’un sur l’autre, car ayant un fort caractère chacun, personne ne les supportait. Deux ans plus tard, la jeune Firmin devient une Landsbury et déambula gaiement dans tout Londres avec son beau diamant et ses beaux vêtements, répétant à qui pouvait l’entendre, sa nouvelle position. Elle cessa le théâtre et remplaça son nouvel époux pour auditionner des comédiens pendant que lui construisait sa maison de disque qui marcha très bien. 3ans plus tard, la dame Landsbury affichait un ventre rond et préparait une chambre pour un petit enfant en Sardaigne, de lors maison de vacances. Elle fit aussi l’acquisition d’une voiture faisant plus « maman ». En gros, le prochain nouveau-né naîtrait avec une cuillère en argent dans la bouche.

« Pourquoi pas Raoul ?
« Depuis que tu vois presque chaque semaine « the Panthom of the opera », tu en es obsédée ! Si cela t’était possible d’appeler notre enfant « le fantôme », tu le ferais !
« C’est un beau prénom. Pas comme un Charles-Edouard ou Paul Emile où le pauvre finirait par nous renier !
« C’est déjà mieux qu’Axel qui fait gay …
« Mon père s’appelait comme ça. »

Heureusement, ils réussirent à se mettre d’accord sur un prénom : Alec. En réalité, c’est le lendemain de la naissance de l’enfant que les Landsbury trouvèrent le nom de manières simples. Une amie de la nouvelle mère avait déclaré que le 22 Avril, date de la naissance et comme le répétera souvent l’ex-Firmin de sa plus grande souffrance (elle omettait tout le temps qu’elle avait mobilisé tout un service, injurié médecins et infirmières pour avoir le plus de moyens possibles pour ne rien sentir et elle fit même appeler à l’hypnose !), que ce fameux jour était le jour des Alec. Le Landsbury n’eut le temps de rien dire que sa femme appelait à plein poumons une infirmière. Il se contenta de dire « Chérie, tu as un bouton pour l’appeler … »

Ainsi naquit Alec. A ce moment-là, il n’était qu’Alec Landsbury. Il devint Alec Gavin Landsbury réellement que le jour où sa mère reçut les papiers avec son écrit et se demanda bien comment ce « Gavin » avait atterri là avant de faire passer une sale soirée à son mari. Ce prénom était en effet celui du grand-père paternel et qu’importe qu’il fut bon, le poussa à suivre ses rêves, la colère de son épouse ne baissa pas d’un cran. Chez les Landsbury, l’amour passait par les disputes. De ce fait, Alec dut se demander où il avait bien pu atterrir, mais on finit par s’y faire. Par ailleurs, il fut le digne fils de ses parents. En effet, bien qu’il eut affiché deux grands yeux bruns innocents, il se révéla être un véritable petit monstre. Une sorte de loups-garous ou vampire comme le disait sa mère. Le jour, il était adorable, mais quand la nuit tombait … il pleurait, hurlait, tapait. Une vraie petite canaille qui en faisait voir de toutes les couleurs à ses parents. Il finit par dormir dans le lit de ses parents, ce qui semblait bien lui plaire pour le moment. Et qui déplaisait profondément au père. La mère s’était trouvé un instinct maternel qu’elle chérissait. Heureusement, Alec finit par en avoir ras-le-bol autour de ses deux ans, trouvant pas marrant de rester assis, seul réveillé, entourés de parents ronfleurs. Il retourna dans sa chambre où quand il se réveillait, il pouvait jouer avec divers trucs laissés dans son berceau. A partir de ce moment-là, Alec ne fut pas un enfant difficile. Sa mère l’inscrit plutôt jeune à des cours de piano, puis de batterie vu comment il tentait de casser le piano quand il était fâché, et bien plus tard, il commença la guitare. Un futur fanatique de musique.

Le jeune Alec grandit comme chaque enfant et n’eut jamais de problème dans sa vie sociale. Dès le jardin d’enfants, il était bien entouré, tant bien des filles que des garçons. C’était la bonne époque où il lui suffisait de se ramener au milieu de ses enfants aussi riches que lui et de balancer « Moi c’est Alec. On joue ? » et se contenter de reposer chaque jour la question ou bien de répondre à cette question posé par un autre petit enfant. Néanmoins en grandissant, les choses changeaient. L’éclatant, le « bling-bling » commença à l’emmerder. Ses parents le disaient dans une passe de « je m’en foutiste » depuis la naissance de sa petite sœur alors qu’il avait 8ans. Cependant, sa nouvelle phase resta à jour et il ne devint pas un enfant pourri gâté et ne se la joua nullement à la « gossip girl » comme aimaient tant faire certains. Il resta tout bonnement normal, bien qu’il usait parfois de l’argent de ses parents. Bien qu’il eut toujours des amis, il évita le statut populaire ou sportif « sans cervelle » et encore moins d’être un serial lover. Etre discret lui convenait parfaitement. Et pour illustrer ce fait, bien qu’il rêva d’être rockstar petit, il envisageait d’être plutôt compositeur et producteur comme son père. En gros, il profitait de chaque jour tranquillement. Même si l’école, ça le gonflait. Néanmoins, le point positif fut que cela lui permis de rencontrer River, son actuelle meilleure amie. Il la repéra assez facilement. En même temps, il connaissait sa classe de musique et bon, elle était la seule à donner l’impression d’être un lapin au milieu de renards. Cela amusa bien Alec, et oui sadisme, quand tu nous tiens … ! Cependant, il lui vint en « secours » en lui parlant, histoire de la mettre plus à l’aise.

« Ne t'inquiète pas, ici on ne mange que du Pudding. Tu n'as rien à craindre.
« Merci pour la précision, j'avais peur de vous servir de repas à l'heure de midi
« Non, les seules qui pourraient te croquer ici sont les garçons populaires.
« Oh, ce n'est pas mon truc d'être populaire, je laisse sa aux autres.
« Hé bien c'est parfait, moi je suis Alec. Juste Alec, pas de surnom pourri ou autres.
« Moi c'est River … ravis de te rencontrer Alec juste Alec.

Ainsi débuta une forte amitié par un petit échange de discussion. Et Alec n’avait aucune idée dans quoi il allait s’embarquer réellement. Il se rendit juste compte combien il appréciait de plus en plus River et ils eurent rapidement une amitié très forte. Ils s’entendaient si bien qu’Alec se mit à entendre des remarques comme quoi ils allaient forcément finir ensemble. Euh … ouais. Alec ne tomba jamais amoureux de River et comme elle l’avait dit une fois suite à avoir entendu elle-même des commentaires, « pourquoi briser une amitié aussi belle que la leur juste pour une amourette de lycée ? » Elle n’avait pas tort et le jeune homme était entièrement de son avis. Et bon, autant dire qu’il voyait très mal River en temps que petite amie. C’était … River. Très explicatif. Néanmoins, cette phrase dite par River revint en mémoire d’Alec quand en effet, elle laissa de côté leur amitié « aussi belle » pour une amourette de lycée. Non, il n’était pas l’élu. Le petit ami de River fut monsieur poney en personne, Adriel Jaden Everton. Alec ne l’avait jamais vraiment connu avant River. Il savait juste qu’il sautait plus ou moins tout ce qui bouge et féminin. Rien qui intéressait Alec et lui donnait envie de savoir qui était cet Adriel. Ces deux-là n’auraient jamais dû s’adresser la parole en temps normal, excepté si Alec lui rentrait dedans par erreur ou Adriel. Là, un devrait s’excuser par pure politesse et poursuivre sa vie. Mais non. L’arrivée de River ne donna pas à Alec qu’une belle amitié, mais aussi une rencontre avec Adriel. Il aurait laissé sa place à toutes les filles qui rêvaient du blond, mais il n’avait pas cette option. Alors il se fit sacarstique.


« Alec c'est sa ?
« Oh ! Il connait mon prénom, définitivement Adriel Everton ne cesserais jamais de m'étonner.
« Oui … Euh dit moi tu m'as l'air proche de River et j'au.r..
« Je te coupe tout de suite, je te vois arriver.
« Euh …
« Oui tu veux que je t'arrange un coup avec elle. Mais je t'arrête tout de suite, tu n'auras rien de moi. Si c'est pour sortir avec et la jeter le lendemain, tu pourras t'en passer.
« Tu n'y est pas du tout
« Oh je t'en prie, fais une partie à trois, sa compenseras le fait que tu ne lui seras pas passer dessus.

Ainsi l’unique conversation entre Alec et Adriel prit fin. Si ce dernier croyait vraiment pouvoir sauté River avec l’aide d’Alec, il se foutait le doigt jusqu’au coude dans l’œil. Le jeune homme n’avait aucune envie que sa meilleure amie tombe dans les bras du bellâtre. Néanmoins, il ne put rien y faire. Il la mit une fois ou deux en garde, mais ce qui devait arriver, arriva. River tomba sous le charme d’Adriel sans qu’Alec n’ait pu faire quoique ce soit. Avec ironie, il prit mentalement rendez-vous avec River pour la consoler vu que c’était évidement que leur relation se finirait mal. Cependant, il ne prit en compte qu’il ne reverrait plus River toujours fourrée avec Adriel. Elle qui parlait de leur si « belle amitié », elle le laissait tomber pour une amourette de lycée, car aux yeux d’Alec, ce n’était que ça. Après tout, on parlait d’Adriel.

« River, j'ai l'impression de ne plus te voir. Si Adriel ne veut plus qu'on se fréquente, je lui casse la tête.
« Ne dit pas de bêtise, disons qu'il me prend beaucoup plus de temps qu'il n'y paraît
« Oui bien sur, l'amour ou l'amitié, tu as choisi apparemment, mais ne viens pas te plaindre si un jour il te fait faux plans, parce que je ne serais pas là indéfiniment.
« Ca veut dire quoi ?
« Gaffe aux mauvaises surprises

Ce fut plutôt clair pour Alec. C’était Adriel le vainqueur, alors il préféra juste se retirer et aller voir ailleurs si il y était. Après tout, River n’avait qu’à se casser le nez. Il l’avait assez mise en garde. Maintenant, si son désir était de couper contact avec tout son entourage pour un poney qui la lâcherait tôt ou tard, c’était son problème et plus le sien. Alec avait été déçu par River qu’il pensait vraiment sa meilleure amie et différente des pouf’ remplissant le lycée. Mais finalement, non. Un rien l’avait fait virer, alors Alec s’était sans doute planté. Et amèrement.

Alec reprit son petit chemin et mettant la River entre parenthèse. Néanmoins, ces pensées ne devaient être que le fruit de sa déception, puisque quelques mois plus tard, il raccueillit la jeune fille. Il était alors à la maison pendant que ses parents et sa sœur étaient dieu sait où, mais dont la destination ne lui plaisait pas. Il était devant un programme MTV, donc rien de bien intéressant. Même si c’était une espèce de final que beaucoup devaient attendre. Pas lui. Mais bon, ce n’était pas assez stupide pour le désintéressé, alors ça allait et ça passait le temps. On toqua à la porte et Alec ouvrit. Il fut bien surpris de voir River en face de lui, en larme. En parfait meilleur ami, il eut vite fait de zapper le fait qu’elle ait préféré « l’amour » à leur amitié et la fit rentrer, comprenant ce qui s’était passé.

« Il t'as largué c'est sa ?
« Non même pas . C'est moi .

Deuxième surprise, mais Alec ne s’attarda pas sur ce détail. Il redevint instantanément son meilleur ami et s’occupa de River pendant un bon moment pour qu’elle se remette de cette déception. Il évita même de lui rappeler qu’il l’avait prévenu. Pour River, il en oubliait son sadisme, si c’était pas un bon pote … Et toujours dans son rôle, il protégea River d’Adriel qui tenta un come back. Ce dernier fut envoyé dans les choux par Alec lui-même et il ne lui donna aucune chance de voir River. Qu’il aille au diable.

Quelques temps plus tard, le lycée terminé et à l’université avec River, Alec pensait que tout était terminé et qu’il n’y aurait plus d’histoires. Malheureusement, leur université prit feu et oh bonheur ! Ils allaient atterrir dans celle d’Adriel. Cela sembla enchanter autant Alec que River qui mit même au point un plan pour empêcher Adriel de refaire un come back. Lequel ? Avoir Alec en faux petit ami. Ce dernier accepta en tant qu’ami et aussi parce qu’en tant que sadique, il se réjouissait d’avance de la tête de ce crétin quand il verrait River et Alec ensemble. Maintenant, reste plus qu’à espérer que River a assez de plombs dans la tête pour ne pas retomber dans ses bras à leur première discussion depuis des lustres.