•• Terrence. Good or Bad it\'s the question. [UC]

Terrence Desmond Chace Ainsworth

▬ par Jared Padalecki

• Age : 20 ans • Birthday : 22 Juin 1989 • Étude : En Droit • Groupe : The Rich'

© absolutkaos79 & ilvujared.

• Chacun son histoire.

Janvier 1984 : Une magnifique femme brune, d’une élégance à en perdre le souffle, d’une grâce habile et envoutante. Elle était debout face à la fenêtre de l’hôpital St Grace Hospital de Seattle. Son visage était fermé, fixe et troublant, ses yeux étaient perdus dans une autre surface terrestre. Elle était vêtu d’une robe de chambre violette en satin, qui s’accordait à son teint laiteux, recouvrant cette silhouette parfaite et ce cœur qui semblait bien plus rude qu’il en avait l’air. Ses yeux de couleur topaze ne semblait pas vouloir pleurer, il était difficile de pouvoir les déchiffrer à vrai dire. Même cet homme, assis sur le rebord du lit, la tête entre les mains et le visage décomposé, n’y parvenait pas. Pourtant ce même homme était son autre moitié, son âme sœur, son prince, son bien aimé. Il était sa vie. Mais même lui n’y pouvait rien. Car le vide qu’elle ressentait à ce moment, il ne le comblerait jamais, même avec tout l’amour du monde. Ce vide restera jusqu’à la fin. Il releva la tête de ses paumes et alla l’a rejoindre. Il entoura ses bras protecteurs autour des siens, fragiles et fins, posa son menton au creux de son épaule droite. Elle posa sa main sur la joue de son mari, et tout les deux fermèrent les yeux de détresse, de peine. Ils ne virent pas le soleil se coucher et s’en aller ensuite, ils ne virent pas ses lueurs disparaitre. Car ce qu’ils avaient perdus ce soir était bien plus qu’un couché de soleil, ils avaient perdus l’espoir.

Juin 1989 : Même hôpital, chambre identiquement stérile, fenêtre sur levée de soleil. Ces même personnes c’étaient transformés en cinq ans. La femme était toujours doté d’une beauté surprenante, avec ses même yeux troublants et ce corps aussi chétif. Ses yeux étaient éteints, la lueur qu’elle avait eut dans sa folle jeunesse était à des années lumières de là. Sa peau était pâle, maladive. Ses cheveux avaient été coupés jusqu’aux épaules et étaient devenus ternes. Elle n’était plus face au paysage mais assise sur la chaise auprès du minuscule lit de bambin. Elle avait sa main contre la joue du magnifique bébé, a la peau couleur pêche et aux immenses yeux marrons de son paternel. Celui-ci était derrière sa femme, les bras autour des siens, la tête reposé sur son épaule. Mais ils ne fermèrent pas les yeux, il ne laissèrent rien s’évaporer, il restèrent attentif à chaque petit souffle d’air de leur enfant. Ils sourirent gentiment devant cet être qui leur avait redonné l’espoir et la vie. Elle se retourna vers son mari, la larme à l’œil, celui– ci l’a fixa avec tout l’amour qu’il lui avait porté et ils s’embrassèrent intensément, le levé de soleil face à eux. Car ce qu’ils avaient gagné ce matin était bien plus qu’un simple levé de soleil, ils avaient gagnés une seconde chance.

Août 1995 : Ces mêmes yeux topazes, cette chevelure brune qui avait repris toute sa vivacité et son éclat. Ce sourire triomphant et qui semblait pouvoir changé la face du monde. Elle était habillé d’un top violet et d’un pantacourt en jean. Elle était allongée sur l’herbe parfaite d’une immense villa, elle se débattant tant qu’elle le pouvait contre ce petit garçon rieur et plein de vie qui ne cessait de l’a faire rire. Il se mit sur lui et leva les bras en l’air, un très large sourire sur ses lèvres.
-Je t’ai eut maman, Je t’ai eut.
-Tu crois sa? Nan mais la partie est pas finit Terrence Desmond Ainsworth!
-Mauvaise joueuse!
-Excuse moi?!
Et ce fut repartie pour une bataille de chatouille. Les éclats de rire se faisant comme échos sous le soleil éclatant de Oxford. Le petit garçon de six ans avait des cheveux châtains, légèrement ébouriffés et toujours ses grands yeux marrons. Il était vif et athlétique pour son âge. La femme le prit soudainement dans ses bras et repartirent dans un éclat de rire. Puis ils passa un bras autour de son épaule et lui déposa un tendre baiser sur la joue.
-Je t’aime maman.
-Je t’aime aussi mon chéri.
-Pour toujours?!
-Ho sa oui!
Et elle lui fit un clin d’œil complice. Puis ils se levèrent tout les deux et rentrèrent dans la sublime villa, rejoignant Mr Ainsworth, assis derrière son ordinateur et des grandes piles de papier qui semblaient s’épaissir à chaque seconde. Le petit garçon accourut vers son père et ce dernière le prit agilement dans ses bras.
-Hey mais c’est que tu deviens costaud!
-Ouep! Et en plus Ashley elle dit que je suis mignon!
-Tiens donc, Ashley. Sa ne serais pas ton amoureuse.
-Mais n’importe quoi, Ashley c’est ma meilleure amie!
Les deux parents se regardèrent amusés et continuèrent de le taquiner jusqu’à essayer de lui faire dire qu’il était amoureux de la petite fille, ce qu’il ne fit pas.

Janvier 2002 : Il était fixé devant la grande baie vitrée du salon qui donnait directement sur le Champs de Mars. Le temps était maussade, les rues étaient bondés et les voitures nombreuses. Il ne s’y ferait jamais, à cette ville. Il l’a détestait. Il détestait ce temps, ses habitants, ses lois, ses petits gosses de riches qui se croyaient tout permis. Oxford lui manquait, le soleil, ses amis, Ashley, sa maison. Cela faisait trois ans qu’il était partit et il n’attendait qu’une seule chose: y repartir. Quand ses parents lui avait expliqué qu’ils ne reviendraient surement pas avant des années il avait crut pouvoir s’y faire, mais il restait sceptique à tout ces changements. Ils avaient déménagés à cause de problèmes qu’avaient eut la compagnie de son père. Il ne voyait d’ailleurs pratiquement plus ce dernier, il coulait sous le travail et finissait à des heures inimaginables. Heureusement sa mère était là. Ses camarades d’école était tous des enfants fortunés qui avaient une réputation déjà bien dessinés à Paris. Lui n’était pas habitué à sa. Certes sa famille avait toujours été riche mais ses parents ne l’avait jamais mis sur un pied d’estal en s’enfermant dans des cercles de roche ou autre. Ici on ne s’intéressait à lui que pour la somme du compte en banque de ses parents. Il se retourna vers sa mère qui était étendu sur le canapé du salon. Il eut un sourire tendre à son égard. Il remit la couverture qui était tombé au pied du meuble, il l’a borda bien et lui déposa un baiser sur le front. Elle ouvrit légèrement les yeux, elle avait pleuré il le remarqua rapidement dut à ses yeux humides et la lueur de tristesse qu’il y lisait avec facilité. Il fronça légèrement les sourcils.
-Qu’est ce qu’il y a? Pourquoi tu pleures?
-Ton père et moi avons quelque chose à te dire mon cœur, quelque chose de vraiment important.
Il s’assit sur la table en bois qui était en face du canapé et l’interrogea du regard. Il avait remarqué a quel point sa mère avait des chutes de moral ces derniers temps et qu’elle était souvent triste. Mais il avait mis sa sur le fait que son père était très peux présent, et puis sa avait toujours comme sa. Chaque années à cette période elle changeait plus ou moins le temps de quelques semaines. Il ne c’était jamais vraiment demandé pourquoi, et il ne lui avait jamais posé la question non plus.

Octobre 2006 : A la sortie d’une boite Parisienne, un groupe de jeunes tous plus ivres les uns que les autres. Riant à pleins poumons et zigzagant dangereusement. Ils était dix, moitié filles, moitié garçons. Les multiples accessoires de grandes marques, ainsi que les vêtements de soirées assuraient qu’ils étaient fortunés. Cela était devenu une habitude, sortir, boire, faire la fête et rentrée en titubant chaque soir qu’ils le pouvaient. Le plus grand des gars, un jeune homme aux cheveux châtains, à la peau pêche et au sourire renversant pris la seule blonde du groupe, la plus belle. Il l’as pris par la main et l’attira vers lui, l’a plaqua contre un mur en l’embrassa ici et là avec fougue. Alors que leurs amis longeait déjà le grand édifice de La Tour Eiffel. Ils continua de l’embrassa tout en l’a déshabilla, puis se fit au tour de la jeune fille de le dévêtir. Une demi heure plus tard ils étaient devant chez un immeuble à l’architecture luxueuse, ils montèrent avec difficultés et avec le plus grand calme qu’ils leurs était accessible. Après être sortit de l’ascenseur et arrivé à destination, il entrèrent dans l’appartement qui était plongé dans un silence de mort ils filèrent dans la chambre du jeune homme. De l’autre côté du salon la porte qui avait été entre ouverte à l’arrivé des deux adolescents, se ferma doucement, faisant disparaitre ces yeux topazes remplis de déception et d’amertume d’une mère qui replongea dans ses souvenirs les plus douloureux. Elle se tourna vers le corps endormit de l’homme qui partageait sa vie depuis environ trente ans, son torse se soulevant au rythme de sa respiration, la lumière bleuté que projetait la Tour sur son visage d’ange. Ces rides qui l’avaient marqués au court du temps et ses paupières fermés sur ses grands yeux marrons. Elle s’allongea contre lui, passa son bras autour de sa taille et posa sa tête contre son dos. De l’autre côté du couloir les deux adolescents c’étaient eux aussi allongés dans le lit deux place, la jeune fille venait tout juste de s’assoupir. Quand à Terrence il n’arrivait pas à dormir, les effets de l’alcool avaient disparut, il était livré à ses pensés et il ne pouvait y échapper. Il c’était enfermé dans cette vie qu’il avait pourtant dès le début détesté, cette vie de luxe et de déboires. Il regarda le corps frêle à ses côtés et se dégouta de lui– même. Il se leva et alla jusqu'à son placard, il l’ouvrit y prit la bouteille de Vodka parmi les autres alcool et but la moitié d’une traite. Il prit ensuite quelque calmant et repartit se coucher.

Mai 2008 : Tout sa était finit, tout ce cirque prenait fin. Il allait passer son bac et il partirait dans l’université de son choix, très loin de là. Il en avait parlé à ses parents, ils c’étaient mis d’accord su laquelle précisément. Il n’avait pas mis longtemps à les convaincre, leur culpabilité reprenait toujours le dessus. Il s’en voulait de les traité de la sorte, surtout maintenant. Il avait décidé d’en finir avec cette période de n’importe quoi, d’allers retours à l’hôpital, de soirées trop arrosé, de lendemains matins sans souvenirs. Il leur avait promis de changer et c’est ce qu’il avait fait. Il avait pris sur lui pourtant, sa avait mis du temps. Il repartirait d’où il venait, arrêterait ce foutu cauchemar dans lequel il c’était infiltré malgré lui. Il appréhendait son retour à Oxford, touts les changements, les nouveautés… Dix ans qu’ils était partit. Il intercepta le regard de sa mère. Il ouvrit légèrement la porte de la chambre de ses parents ou ils c’étaient tout les deux assoupis. La femme au sourire chaleureux lui fit signe de s’approcher, il obéit en s’asseyant à ses côtés. Elle mit une main sur sa joue et l’embrassa ensuite délicatement le front. Une larme se versa sur chacun de leur visage. Puis il se déplaça jusqu’au milieu du lien, entre les corps de ses parents il s’installa à l’intérieur des couvertures. Tout les trois étaient unis et ne semblaient pas être prêt à se séparer de nouveaux. De l’autre côté de la fenêtre, le soleil se couchait lentement sur Paris, mais aucun d’eux n’avait le cœur à atteindre qu’il finisse son chemin. Ce qui comptait le plus à cet instant c’était que tout pouvait s’arranger.

2009 : Terrence est revenu au début de l’année scolaire et n’ayant pas réellement grandit dans cette ambiance de « riches contre pauvres » il n’a pas vraiment d’opinion sur la question « que pense-t-il de des pauvre chez les riches depuis l’incendie de l’école de ces derniers?». Mais suite a ses habitudes prise à Paris, celle qu’il a eut de ne trainer qu’avec des filles et fils à papa, il ne côtoie pas souvent avec des gens aux moyens de vie juste acceptable. Il aime avoir ses privilèges et dépenser beaucoup d’argent, évidemment il n’est pas du genre à snober tout le monde, mais il ne faut pas le juger juste parce qu’il a un très gros compte en banque… car là il commencera vraiment à se retourner contre la personne. Et le fait de partager sa chambre ne le dérange pas vraiment car il sort pratiquement tout le temps.

Padackikiiiiiiiiiiiiiiii <3
Bienvenue

Merci Encore
=D Christa Theret

Finit =)
Vlà l'heure ^^.
Lol Isalÿs moi je l'a veut bien la Révolution hein!!

Bienvenue ; merci de ton inscription! (:
J'aime beaucoup ton histoire, par contre il faudrait juste que tu parles à la fin de l'incendie ayant dévasté l'autre université & du fait que vous devez désormais partager l'université avec les "Others".

Bonne continuation!

Bienvenue. (:

Thanks' Nigel.
J'ai ajouté le scéna', et je pense avoir finit! ?

Désolée du retard ; je te Valide.
Bon jeu

T'en fais pas & Merci.